Sonate d’Automne par Descartes
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Descartes nous dit qu’il est découragé”, moi je dirai que je suis désabusé…
Ou, au choix:
Lassé, accablé, triste, désespéré, abattu, désappointé, consterné, désenchanté, déçu…
Mais le propre de l’homme n’est-il pas toujours de se relever devant les obstacles, de ne jamais baisser les bras.
On peut se sentir parfois dans tous ces états, se dire que l’on y arrivera jamais, on n’a pas prononcé cette phrase, qu’elle est oubliée!
J’espère que Descartes consentira à ce que je publie son billet, il dit tout ce que je ressens et plus!
Bon weekend à tous!
Je publie cet article en avant sur le blog, ayant obtenu l’autorisation de René Descartes de le faire.
Un grand merci à lui!
Remarquable état des lieux et étude de l’opinion populaire.
A l’inverse de la plupart des observateurs, Descartes n’attribue PLUS au FN un rôle de “moteur idéologique”, mais celui de
“porte-voix” de couches populaires de plus en plus angoissées, méprisées et maltraitées.
Cela semble un apport crucial à la bonne compréhension de la situation.
Et des futurs bons scores du FN aux municipales et surtout aux Européennes de Mai 2014.
Descartes ne se paye plus d’aucune illusion sur le personnel politique de quelque parti qu’il soit, Mélenchon compris.
Son analyse est une condamnation absolue de ce que de Gaulle appelait le ” régime des partis “.