La Pastorale
La pastorale provençale est une pièce jouée en Provence durant les fêtes de Noël. Elle retrace l’histoire de la nativité au travers du quotidien provençal.
Alors que je me préparais à enregistrer le début de cette “Provençale” sur le parvis de l’église, je remarquais un jeune couple que je ne connaissais pas, à côté de moi, qui semblait, dont les yeux étaient envahis d’étonnement, d’interrogation…
Comme je suis un humain, bandolais, je posais la question de savoir d’où ils étaient, d’où ils venaient?
-des parisiens me répondirent-ils! Nous voilà bien! 🙂
En fait comme je leur avouais mon ignorance à propos de cette coutume, le maire de la commune libre d’Amigar se dévouait et leur expliquait en quelques mots l’origine de cette manifestation.
Je vous laisse la parole, la plume si d’aucun d’entre vous êtes à même de leur expliquer mieux ce qu’est ” La Pastorale”.
L’association Lou Fougau Prouvençau d’Ollioules a présenté la Pastorale de Bellot, à l’initiative de l’association “Bandol Autrefois” et la collaboration de la Commune Libre des Amis de la Gare de Bandol.
Cette pastorale est la représentation de la Nativité, qui comme tout le monde le sait, s’est déroulée en Provence. Au détour d’une rue un ange annonce la venue de Jésus dans notre bonne ville de Bandol et tous les santons se déplace dans la ville pour rejoindre la Crèche et déposer leurs offrandes.
Merci à tous pour cette belle soirée et une mention spéciale à notre Père Curé Marius Boyer qui a participé avec sa bonne humeur habituelle, accompagné cette année d’un autre capelan, le Père Mourvèdre, curé d’Amigar.
PS. Un “capelan” en provencal est un chapelin, avant de désigner le petit tacaud (espèce de morue) et le capelan de Terre neuve (espèce d’éperlan) voir mon ami Larousse
Merci Claude pour ta participation! Joyeux noël à toi, à ceux que tu aimes et aux amis de la Gare!
C’est nous qui te remercions pour ton investissement (dans tous les sens du terme) pour notre beau village. Nous t’avons encore vu à la pastorale des enfants en l’église hier au soir. Un regret : que si peu de “vrais bandolais” suivent ton exemple.