Y en a-t-il chez nous ?
On ne peut pas passer à côté de ça.
Bien que je sois d’un pays n’ayant pas vécu ce genre d’expérience, et d’une génération n’ayant pas connu la guerre, on ne peut pas passer à côté de l’évocation de l’aniversaire de la chute du mur de Berlin.
Il parait qu’il en existe encore plein, des murs, Chypre, Israël, Mexique, Maroc et j’en oublie.
La question que je pose: y en a-t-il chez nous ?
Des murs de pierres, d’incompréhension, d’indifférence, de bétise, de jalousie, d’injustice, de méchanceté….
Ce que soulignait, dans un reportage, un journaliste, le mur de Berlin n’a jamais empéché les hommes de communiquer, à l’époque, c’était avec des hauts parleurs montés sur le toit d’une voiture.
Aujourd’hui, notre arme (c’en est une!) est la communication, comme jamais elle n’a existé.
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Pierre
tu dis il est tombé – lequel – celui du Nord ou celui du Sud – Max
Christain
Avant et depuis longtemps, ici, il y avait des “bancaous” (je ne sais pas pourquoi je mets des guillemets nous sommes et restons en Provence, sans doute parce que je sais le dire comme mes grands parents mais ne suis pas certain de savoir l’écrire) avec des gens qui se parlaient, qui se disputaient même , voir qui ne se parlaient plus parce que tel était leur choix (et non le choix d’un “maire par accident”)… Enfin le mûr est tombé… continuons à nous en réjouir… en évitant que s’en construisent d’autres et en préservant nos derniers bancaous