Nous…et les autres….

Le penseur Auguste Rodin Année 1902 Musée Rodin, Paris

Nous avons les projets relatifs au gaz de schistes, à la LGV… mais nous ne sommes pas les seuls à être menacés par des exploitations inconsidérées de notre sol…. et nous sommes parfois complices de ces actes…

Ainsi pour la fabrication des pneumatiques de nos voitures… saviez vous ce que Michelin veut faire en Inde (je sais c’est loin… mais si c’était VOUS….)

Et en Amérique du Sud… ah ces pays de rêve… hé bien là aussi les multinationales européennes se comportent de la même manière…
Il y a les accords de libre échange signés par la communauté elle même qui mettent en danger les forêts pour notre petit confort personnel: l’huile palme… alors que nous avons des produits équivalents sur notre sol européen… mais rentabilité oblige…

Faut-il boycotter les produits avec de l’huile de palme ?.. et notamment le “bio éthanol” qui n’a rien de bio et que l’on devrait nommer agro carburant….

Pour la consommation électrique, si nous c’est le nucléaire… en Amazonie c’est l’hydroélectricité… et la neutralisation de milliers de kilomètres carrés ou vivent des populations… qui vont être déplacées:

… et la liste est encore longue, longue, trop longue…
Qu’allons nous laisser à nos enfants et petits enfants ?

Un monde de ruines, de béton..

Sauront-ils ce qu’est une forêt….

NDC: je ne suis que poussière dans ce monde qui s’agite, poussière parmi les poussières qui désigneront dans quelques jours, qui sera le maitre à bord pour nous mener à bon port dans cet océan tumultueux.
J’ai choisi cet illustration du penseur de Rodin, je ne sais si c’est mon grand âge, mais l’inquiétude me gagne comme Prinz, de savoir quel sera notre avenir, l’avenir de nos enfants si nous ne faisons rien pour changer notre façon de vivre, changer ce sera difficile, ce sera long, mais au moins pour modifier notre comportement et surtout, de mon avis, de répartir un peu plus équitablement les richesses!
Car il s’agit bien là de richesse, nous vivons dans un monde de consommation, toujours produire plus à moindre frais, pour nous enrichir encore plus.
A l’heure de l’information qui nous submerge, nous ne pourrons pas dire que nous n’étions pas au courant!