Le tourisme, inutile! Vous disiez!
Installée depuis 1972 à Bandol, le groupe Locasail a été créé par Vincent Di Martino, un surdoué, travailleur, passionné et lui-même régatier.
« Nous travaillons en famille », explique Muriel Di Martino, fille du fondateur et directrice générale.
« Après des études en commerce international dont des passages à Harvard et Berkeley, je me suis tout naturellement jetée à l’eau, intéressée par ce milieu de passionnés et désireuse de relever un challenge. »
Voilà encore un exemple d’une entreprise “Locasail”, qui disparaitra lorsque Bandol sera redevenu ce qu’il était à ses débuts.
Un très beau port de pêche qui a du se reconvertir à un moment donné au commerce du vin et celui-ci en perte de vitesse, s’est tourné vers le tourisme.
Certains d’entre vous aimeraient que l’on retourne au sources et ne comprennent pas pourquoi les entreprises s’enrichissent.
Pourquoi les entrepreneurs deviennent-ils “riches”?
S’enrichir n’est pas un but en soit, c’est une conséquence du travail que l’on fait et la richesse vient naturellement, un peu comme Raimu dans la trilogie de Pagnol quand, après avoir mis son beau costume, il sort “naturellement”.
Cela doit en déranger beaucoup que certains s’enrichissent.
Nous n’avons pas la mentalité que les anglo-saxons qui eux les félicitent.
Nous devrions, peut-être, nous riches entrepreneurs, redistribuer le fruit de notre travail à ceux qui n’en ont pas ou qui ne font pas les mêmes efforts pour le gagner.
Peut-être qu’une petite révolution arrangerait les choses!
Genre… Nous restituerions le fruit de notre labeur à l’Etat qui se chargerait de le répartir d’une manière équitable au peuple affamé.
Au passage les dirigeants se feraient construire de superbes villas sur les bords de la mer noire…
Pourquoi pas?
Remarquez, c’est ce qui se passe un peu aujourd’hui. Mais au lieu de le distribuer au peuple, ils se le gardent pour eux…
www.bandol-blog.com
il ne faut pas oublier que Bandol est le 8em port Français de 1598 places et une équipe devouée a l’accueil des plaisanciers.
GP
Oui “Nul bien sans peine”, sauf qu’aujourd’hui on peut se donner de la peine, qu’est ce qu’il en restera? à l’heure où l’euro à remplacé le franc, ( un francs la baguette de pain hier pour un euro aujourd’hui)
Il va etre difficile pour nos enfants de se constituer un patrimoine en partant de rien dans cette société de surconsommation, à part quelques opportunistes ou surdoués.
Ce qui etait vrai hier ne l’est plus aujourd’hui, de même que le BANDOL de Raimu n’existe plus, le Bandol du Scotch, bingo, zoom, etc n’existe plus non plus je suis le premier nostalgique de cette epoque, et encore plus proche, celle du Diam’s, arretons de pleurer et looking forward comme dit Philippe, faisons preuve d’imagination,
avec des idées novatrices et ambitieuses, a l’echelle du potentiel Bandolais de part sa situation et réputation, il est encore temps…alors cessons de pleurer, et pour finir sur une citation de JFK, “celui qui regarde son passé rate son avenir”.