Il n’y a rien à dire.
C’est vrai que si l’on cherche le mauvais, dans “Bandol Mag”,on en est pour nos frais…
A part la rubrique “décès” (avec tout le respect que je dois à ceux ou celles qui nous ont quittés et à la peine de leurs proches), on n’a rien à se mettre sous la dent.
Même pas une petite remarque dans le coin de l’opposition.
Remarquez, ils ne s’expriment pas beaucoup non plus ailleurs.
On se demande si il y en a une, ou si tout simplement, elle n’a rien à dire, ce qui confirmerait que tout va bien.
“Bandol pour tous” ,RIEN depuis les vœux; on aurait pu imaginer qu’ils feraient un petit papier pour la venue dans leur rang de Marcel Bogi, mais bon, ils ne sont peut-être pas au courant.
“Bandol Avenir”,RIEN depuis juin 2008; alors que les régionales approchent à grand pas.
“Bandol Autrement”, RIEN depuis avril 2008.
Si, je regrette que l’on soit obligé de rappeler aux commerçants leurs obligations.
Pas que ce soient des obligations et que l’on soit obligé de les rappeler aux “commerçants”, NON !
Mais qu’il y ait des règles partout et qu’il y en ait de plus en plus.
C.V.
Mesdames,(je ne les oublierai plus dorénavant), Messieurs, n’attendez pas le dernier moment, comme d’habitude, pour vous exprimer.
Tout le monde n’a pas la possibilité de se rendre aux séances du Conseil Municipal, pour apprécier vos débats hautement instructifs que nous savons déjà préparés par un “préconseil”.
Ne pourrait-on pas, nous les administrés, soumettre des remarques au Conseil, élus de la majorité ou de l’opposition, quelque temps avant, lorsque l’ordre du jour a été dévoilé, pour que vous apportiez des réponses aux questions que l’on se pose?