I have a dream par Jean Sarrat

Farm animals topic image 1

I HAVE A DREAM ( et pas qu’en Politique)
Et bien moi je vais vous entraîner vers un vieux rêve et vous le faire partager.
2 éléments à mettre en scène pour vous faire monter dans les étoiles avec cette envie folle, qu’une fois monter dans les étoiles, ce rêve redescende et atterrisse sur Bandol.
1er élément: suivez-moi:
1989 l’année du Bi centenaire et l’année de ma divagation vers une folle idée que j’avance pendant la campagne électorale:
-Et si à Bandol, on se lançait vers la création d’une ferme pédagogique rassemblant, telle l’Arche de Noé, une série d’animaux familiers, si familiers que bientôt nos enfants et petits-enfants ne les croiseront qu’en image: poulets, canards, moutons, chèvres, vaches, ânes etc..Et si à ces animaux vivants on y ajoute des légumes, fruits familiers…et si de façon cyclique, nos jeunes élèves d’ici, et pourquoi pas d’ailleurs, rendraient la visite pédagogique à ce petit monde tellement naturel pour nous mais qui progressivement se fait plus rare.
Alors cette ferme pédagogique (pour qui à l’époque nous avions le couple prêt à être affecté)
expliquerait par étapes successives l’évolution du monde animal et du monde végétal.
Rêve insensé, écarté et pourtant évoqué de mandature en mandature avec même une déclinaison sur la Ferme sous-marine (Mr WAUTERS s’en souviendrait…)
2ième élément: ne partez pas
2014, lundi 11 Aout 5ième page de Var Matin: magnifique page sur le Zoo de Sanary-Bandol
-Et si la commune de Bandol proposait à la direction de cet établissement d’y adjoindre le 1er élément évoqué plus haut avec un partenariat dans la gestion et le fonctionnement en mitoyenneté qui intégrerait pourquoi pas l’Education Nationale dans un projet pédagogique global réunissant l’animal familier, celui appelé domestique, avec ce monde animal qui n’appartient plus qu’aux images d’Epinal et aux centres de regroupement et de sauvegarde dans les Zoo.
Imaginez un seul instant l’intérêt d’un tel projet: unique! Bandol en ferait une marque et un label, alors si comme moi vous vous dites: I have a dream et pas qu’en Politique,alors….: écrivez, délirez, proposer, enrichissez, bougez les pour que Bandol se démarque du tout vu.

young baby goat with red bow-knot

www.bandol-blog.com

8 commentaires sur “I have a dream par Jean Sarrat”

  1. Jean Sarrat

    Adieu veau, vache, cochon, couvées!
    D’avoir imaginer, pour le suggérer aux lecteurs de BB,
    Que les animaux dont ceux dits de compagnie
    Ainsi que ceux vivant en bergerie ou en boucherie,
    Pouvaient cohabiter avec ceux de la savane et la forêt,
    N’était qu’utopie dérangeante à transformer en projet.
    Certains me diront:… dérisoire!
    En regard de Bandol et ses déboires
    D’autres évoqueront la foultitude de sujets abordés
    Depuis le 13 Aout “Y have a dream” que j’ai signé:
    Trente sujets mis sur le tapis aux lecteurs proposés,
    N’en voulons pas au Webmaster qui s’est amélioré.
    N’en voulons pas non plus à ses lecteurs maintenant auto sélectionnés,
    Par rapport à ceux d’un récent passé,
    Passés maîtres en zizanie et chicaya.
    Mais, aujourd’hui la moralité dans tout ça ?
    C’est, quoiqu’on en dise, le blocage de tout par ces traces
    Laissées dans la mémoire collective et qui remontent en surface.
    Bandol a fait son expérience du “tout dire m’est permis”
    Mais par excès non mesurés. Alors!… aujourd’hui ?
    Conclure sous forme de question,
    Met un terme au “dream” renvoyé dans son cocon

    #28269
  2. Nathalie Caune

    La modernité c’est une vue de l’esprit. il faut être en cohérence avec son temps, et en ses lieux ! Certaines audaces architecturales sont remarquables ! Qui n’apprécie pas une somptueuse vue mer dans une villa grand standing ?
    Mais il se trouve que Bandol revendique haut et fort un statut de ville touristique. Sur les cartes postales ne se vendent pas des parkings, de paysages bétonnés, des infrastructures cubiques à larges baies vitrées néo-modernes uniformisées telles qu’on en voit dans toute grande cité qui se respecte… Non, sur les cartes postales se vendent des plages bordées de pins ou de palmiers, des paysages de restanques avec des champs d’oliviers, des marchés aux senteurs d’épices et aux couleurs des tissus provençaux parsemés de cigales… Bandol a fait le choix de se “spécialiser” dans son orientation économique dans une activité essentiellement touristique provençale et balnéaire (et surtout de se reposer sur des acquis tel que climat, environnement, gloire passée… qui dispensent de toute remise en question). C’est cette image que nos visiteurs viennent chercher ici. Alors dans chaque rue, chaque place, chaque perspective, Bandol est tout entier un PRODUIT et à ce titre, n’a plus le luxe de prétendre à une pesudo-modernité, à moins de faire une grossière erreur de marketing. Avant de revendiquer “modernité” ou “révolution” il faut être prêt à en payer le prix.
    Le tourisme c’est un voyage dans les traditions régionales. Si on en efface toutes traces, que restera-il a vendre ?
    Vouloir révolution l’économie locale et la physionomie de Bandol, ok ! Mais il faut proposer une reconversion économique pour remplacer les commerçants, restaurateurs, plagistes, hôteliers qui vivent de cette image de tradition, éculée pour certains, dénaturée pour d’autres…

    La vraie “modernité” c’est de ne rien renier de son passé et de respecter au maximum son avenir. Notre époque présente des contradictions qu’il nous faudra impérativement négocier(le beurre et l’argent du beurre) et certainement faire des choix dans nos orientations d’avenir.

    Réalité 1 : nous sommes de plus en plus nombreux !

    Réalité 2 : l’individualisme culturel de notre société nous incite à consommer ESPACE et DROIT comme si nous étions seuls au monde.

    Réalité 3 : les 2 premières sont incompatibles, sans la vraie modernité qui justement consiste à réaliser que les temps changent, exigent plus de compromis et de conciliations si l’on veut continuer dans cette voie, en l’occurence pour Bandol, rester une vitrine attrayante.
    L’urbanisme des villes littorales ne peut plus gérer les espaces disponibles comme dans les années 70. Cette époque est révolue.

    Par ailleurs, pour répondre encore à Lucien, un musée de la mer, serait un peu prématuré ; la mer est encore vivante et à portée de doigts de pied ! Pourquoi la figer dans un musée quand il suffit d’y plonger et de la voir vraiment ?

    #28174

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