Marius Boyer, curé de Bandol
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Cet article a été publié le mardi 11 mars 2014 à 11:31 et est classé dans Je vis à Bandol, Politique. Vous pouvez suivre toutes les réactions par le flux RSS 2.0.
…Dans cette optique, l’homme politique ne sera pas avant tout l’homme des grands projets, mais celui qui servira, sans aucun privilège, toutes les personnes de sa commune; l’homme de l’unité et de la fraternité….
Je partage tout à fait cette définition allant jusqu’à dire qu’elle contient l’essentiel de ce qui pourrait être le programme de celui ou celle qui se propose à nos suffrages.
Mais cette définition ne doit pas être attribuée uniquement à l’homme politique, elle s’adresse et s’affecte à tout un chacun qui doit faire preuve à l’autre de son application. C’est ainsi que l’on pourrait regretter le comportement de certains ou certaines, au privilège autoproclamé.
J’ai le souvenir tenace de quelques cas dont celui d’une personne, totalement en contradiction avec cette définition humaniste aujourd’hui heureusement “écartée” de son pouvoir autoproclamé, illustrant parfaitement l’existence d’une justice…divine pour certains…réelle pour tous.