Il était seize heures…
J’étais venue admirer la mer agitée, mais surtout l’orage qui grondait…
Assise dans ma voiture, garée au parking du Casino, tout près de la mer, je tricotais la layette du bébé, bien sûr, afin de ne pas culpabiliser de ne rien faire ! c’est du point mousse, donc, ce n’est pas utile de regarder son travail et c’est très bien comme ça ; cependant j’étais tellement prise par la vue de ces éléments déchaînés que j’ai dû détricoter dix rangs que j’avais faits en trop (on ne se moque pas ! car faire ou défaire, c’est travailler !).
J’aurais bien aimé fixer les images des éclairs qui rayaient tout le ciel ; mais mon appareil n’est pas très sophistiqué et je suis déçue de ne pas avoir réussi.
Tu trouveras, en pièces jointes, les photos que j’ai prises.
Bonne soirée.
Mireille.
Bravo Mireille!!!!!!
C’est magnifique!
Les photos, les chaussons…. Superbe!!
Je suis fière de toi!
Super Christian ! si j’avais su le faire, je l’aurais fait, car j’y pensais en prenant la photo…mais les chaussons sont en pure laine phildar et non en satin blanc ! Merci de ton interprétation d’une simple photo prise avec tellement d’amour de tout ce que sous entendent ces petits chaussons… Qui peut bien se cacher sous le nom d’Amaïa ?