Et maintenant, qu’allons-nous faire ?
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Nous ne pouvons rester comme ça dans cette situation, ou plus personne ne peut travailler faute d’avoir des délégations, des responsabilités, en attendant le prochain vote du budget pour lequel nous ne savons pas ce qu’il sera et de plus s’il sera adopté compte tenu que Monsieur Joseph n’a plus la majorité.
Nous ne pouvons rester sans rien faire, sans travailler et surtout sans préparer les prochaines échéances qui rythment la vie de notre commune.
Monsieur Joseph va devoir enlever toutes les délégations à tous les conseillers municipaux qui en ont encore, par là même les indemnités qu’ils recevaient et les redistribuer aux adjoints encore en place…
Il dit dans l’article de la Provence, qu’il a été élu par les bandolais, certes !
Nous avons choisi avant tout une équipe, formée de la fusion de deux équipes et ce sont ses membres devenus des conseillers municipaux qui l’ont choisi.
Il avait dit, et cela avait été reproduit dans la presse, qu’il partirait s’il était mis en minorité!
Il ne doit pas partir!
Il fait partie de cette équipe mais il doit laisser sa place à un autre qui saura rassembler et mener à bien tous les projets que tous les Bandolais atendent.
Il doit provoquer au sein du conseil municipal une autre élection pour choisir un autre leader, c’est vrai que Laetitia Quilici est bien placée pour prendre la tête de ce groupe au grand dam de quelques-uns qui ne sont là que pour la critiquer et surtout pour prendre sa place…
Nous devrions lui laisser sa chance comme elle a été donnée à Monsieur Joseph.
Ceci est un petit message tout à fait personnel, qui ne m’est soufflé par personne, je peux me tromper.
Je suis à la disposition de Jean Paul Joseph s’il souhaite s’exprimer sur le blog pour une interview comme il m’en avait accordé plusieurs pendant la campagne des élections.
je vous souhaite un bon samedi.
Ci-dessous tous les conseillers qui se retrouveront sans délégation…
on ne verra plus Edmond, pas plus que Philippe, Jean Michel, Bruno ou encore Franck (pas Franck!) que j’ai pu croiser pendant ces 6 premiers mois de mandat.
Je ne sais pas pourquoi, en écrivant l’article mes deux pieds marquaient un tempo qui m’ont fait me souvenir d’un très vieux morceaux dans lequel on peut écouter un solo de batterie d’anthologie… C’était en 68 où tout basculait… A 6:25 du fichier audio.
IRON BUTTERFLY – IN-A-GADDA-DA-VIDA
In a gadda da vida, honey
Dans les jardins d’Eden, chérie
Don’t you know that I’m loving you
Ne sais-tu pas que je t’aime
In a gadda da vida, baby
Dans les jardins d’Eden, bébé
Don’t you know that I’ll always be true
Ne sais tu pas que je serais toujours sincère
Oh won’t you come with me
Oh voudrais-tu venir avec moi
And take my hand
Et prendre ma main
Oh won’t you come with me
Oh voudrais-tu venir avec moi
And walk in this land
Et marcher dans ce pays
Please take my hand
S’il te plait prends ma main
A relire l’article de Jérome Poillot dans Var Matin et la conclusion de Jean Paul Joseph le maire de Bandol:
“Permettez-moi d’ailleurs un petit parallèle avec le tennis: je n’ai jamais lâché un point jusqu’à la balle de match!”
C’est faire montre d’une force de caractère hors norme lorsque l’on joue en individuel, mais là il s’agit d’une équipe.
Personnellement à comparer la gestion d’une commune avec un sport, je choisirai plutôt le rugby ou chacun des joueurs, avec ses qualités et ses défauts, fait gagner le groupe.
Pour ce qui me concerne j’ai pratiqué les deux et c’est vrai que le tennis permet, comme la course à pied avec le marathon que j’ai pratiqué aussi, de puiser dans des ressources que l’on ne soupçonnaient pas. On gagne un match de tennis ou on termine un marathon plus avec sa tête qu’avec ses bras ou ses jambes!
Le rugby c’est tout autre chose, on se bat pour l’équipe, pour le groupe. Et en cas de victoire ou de défaite on assume… Pendant la troisième mi-temps, pendant laquelle les adversaires deviennent des amis.
Merci pour ‘ IN-A-GADDA-DA-VIDA’ toute ma jeunesse.
Et un extrait du poème de Victor Hugo
Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,
Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,
La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
D’un côté c’est l’Europe et de l’autre la France.
Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l’espérance ;
Tu désertais, victoire, et le sort était las.
O Waterloo ! je pleure et je m’arrête, hélas !
Car ces derniers soldats de la dernière guerre
Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre,
Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,
Et leur âme chantait dans les clairons d’airain !