Demain dès l’aube, Victor Hugo
On parle toujours de l’amour d’une mère, rarement de celui d’un père. Peut-être parce qu’ils ne savent pas trop bien le faire.
On parle toujours de l’amour d’une mère, rarement de celui d’un père. Peut-être parce qu’ils ne savent pas trop bien le faire.
Cet article a été publié le jeudi 30 avril 2015 à 09:15 et est classé dans Je vis à Bandol. Vous pouvez suivre toutes les réactions par le flux RSS 2.0.