1.Mairie de Bandol
Bandol PLUS
Hôtels et résidences de Bandol
Bandol pour tousAlors là, j’hallucine!
Bandol Bistro
Vous avez du mal à nous faire un petit mot, à nous envoyer une petite photo, à nous faire un petit commentaire, même cru.
Comme nous recevons des, non, un message du bout du monde, je suis dans l’obligation, par politesse pour remercier l’expéditeur, de vous le transmettre.
Bandol Bistro à NEW-YORK, ça existe !!
Roland du bistro que je ne connais pas, nous envoie l’adresse, des fois que vous passeriez du côté de Manhatan.
Vous pouvez vous faire une idée du menu et faire des remarques, moi en tout cas je suis très surpris par les tarifs affichés, en plus à New York. Quand on sait que de surcroit on peut manger quasiment à n’importe quelle heure…maintenant, avec 10 millions d’habitants, c’est plus facile.
Et pourquoi il hallucine celui-là?
Et bien, quand on parle de notre village, que ce soit en bien ou en mal, je me sens un peu concerné et parfois coupable, surtout quand c’est en mal.
Je n’ai pas de raison de me sentir coupable, tout va bien.
C.V.
www.bandol-blog.com
AMMAC Bandol
Bandol Littoral
Le Cap des Palmes
La France entière se pose la question sur l’identité nationale…j’ai bien envie de poser la question sur l’identité villageoise ! Qui se dit Bandolais ? J’en connais qui sont nés à Bandol, qui ont quitté Bandol pour leur situation, et qui viennent passer leur retraite après quarante ans d’absence ; ça a été leur choix ; mais quant à critiquer ce que font ces “étrangers” venus de Marseille ou autre et qui ont bâti leur vie à Bandol…je ne suis pas d’accord. Mes parents sont arrivés à Bandol (des Marseillais !) en 1946 ; D’abord en vacances ; ensuite ils ont acheté (en 1954) un cabanon, qui appartenait à Malou et Paul Toucas (des vrais de vrais); et nous passions tous nos week end au cabanon. Avec mes frères nous avons passés toutes nos vacances à Bandol, en 1948 je “faisais” de la trotinette sur la place de l’Eglise avec Suzon Sauve et Mado Deferrari (Sébaoun); j’ai connu les commerçants des années 50 et je peux en parler ( quand Sisto Scalise essayait les chaussures avec sa main balladeuse sur mes jambes…) et Fernande qui travaillait chez Gairoard sur la Place, et Jeannot chez Bérard le boucher de la Place; Ce dont je me souviens, c’est lorsque le “juk box” est arrivé au Nautic ; Marius, le Père de Noëlle, compagne de Marcel Boggi nous permettait de venir choisir, pour 1 franc je crois, le disque de notre choix ; alors nous nous attroupions devant le monument aux morts pour écouter nos idoles…un vrai bonheur ! Mais venons en aux faits : on me fait toujours remarquer que je ne suis pas bandolaise, mais marseillaise ; pas plus tard que la semaine dernière, une collègue que je connais depuis plus de soixante ans me lançait “toi, la marseillaise” ce à quoi je n’ai pas répondu pour ne pas blesser. Les Revest, Toucas, Cayol, Boyer, Gamel, Aufiffren…et j’en passe qu’ils veuillent bien m’en excuser. Mais ce genre de réflexion est fait par des gens qui sont arrivés à ou juste après la guerre et leur patronyme n’a rien de Bandolais plutôt transalpin ; ce que je ne critique pas puisque Pierre, mon mari étais d’origine transalpine par son arrière grand père. Mais qu’il soit né ou pas à Bandol, qu’importe ! le vrai Bandolais est celui qui aime son village et qui l’aide à vivre en s’impliquant dans des associations ou en participant à des actions que d’autres ont pris la peine de mettre en place. Sachons accueillir les nouveaux venus avec chaleur et cessons de les traiter d’étrangers, de marseillais de parisiens. Vous, qui avez quitté Bandol depuis quarante ans et plus, sachez accepter les changements apportés par d’autres que vous car sans eux, bandol serait mort. Mon mari et moi avons largement participé à la vie de notre village au sein du Tennis club, des boulomanes, de l’Etoile Bandolaise, de la paroisse où j’ai organisé des fêtes pour le troisième Age par les adolescents (nombreux sont ceux qui me le rappellent et les coupures de journaux également). J’ai été un peu bavarde mais en résumé : être Bandolais, c’est aimer son village et l’aider à rester vivant et agréable à tous vrais ou moins vrais bandolais.
C’est très juste, bien dit et sincère.
BRAVO..
Michèle GARRIDO (la tatie d’Ursus !!!)
@ Jacques
Stopper les animations nocturnes d’été à 23 heures: NON.Lorsqu’une personne achète un logement sur le Port, elle doit admettre et son privilège de vue sur le Port et son inconvénient d’animation. Si elle n’est pas en état de supporter et simplement apprécier, elle doit orienter son choix vers les Katikas qui offrent et le privilège de la vue et l’absence de bruits. Mais de grâce ne pas stopper toutes formes de vie à 23 heures en été, c’est la mort du Commerce local et de l’attrait de cette ville de Bandol. Dans le Midi, en été, la décontraction passe par une certaine tolérance. Une seule ville de la côte a construit sa réputation sans animation sonore, sans végétation: fleurs, pelouse etc… Saint Tropez! Mais il n’y a qu’un seul Saint Tropez!
Je sais que ma réponse va susciter des réactions, alors ne vous gênez pas, il faut que le sujet, dans son évocation, aille jusqu’au bout de la réflexion. A vos claviers et écrans…
Je me souviens, adolescents, dans les années 55/58, nos parents nous permettaient, mes frères et moi, de nous promener sur le port, l’été ; mais on devait impérativement retrouver nos parents à 23 heures maxi pour rentrer à la maison. Et je me souviens que, chaque soir, on râlait car c’était l’heure à laquelle la vie nocturne de Bandol commençait et plus de cinquante ans après, c’est la même chose ! Je ne vois pas comment envisager de stopper les animations d’été à 23 heures… C’est comme venir à un banquet ou un repas autre et partir avant le dessert et le champagne. Car “faire le Port”; expression consacrée qui consiste à flaner, acheter une glace, une crêpe, lécher les vitrine sans autre souci que celui de passer un bon moment et accumuler les souvenirs de ces vacances..Et également aller écouter la musique qui se déplace au gré des musiciens, ou des clowns pour nos petits qui n’ont jamais sommeil l’été. Bandol le soir à ne sacrifier sous ancun prétexte ! Par contre je ne suis pas pour une animation fixe toujours au même établissement mais une animation mobile qui obligerait les vacanciers à connaître d’autres sites que la Place du Village. Et pour ceux qui sont gênés par le bruit, il y a les boules Quies qui sont très efficaces. Et que Bandol vive Jour et Nuit !